samedi

Natacha Polony se paye Emmanuel Macron !

Michel Onfray prend la défense de Natacha Polony

Macron membre du Bilderberg ?

Le Groupe BILDERBERG, c'est quoi exactement ? (enquête très complète)

Rechercher 3:50 / 45:34 Le Groupe BILDERBERG, c'est quoi exactement ? (enquête très complète) ANTIPYRAMIDAL Ajoutée le 8 mars 2014 Citation de la vidéo (Pierre Hillard, Dr en science politique) : "Le groupe Bilderberg n'a aucune légitimité démocratique ; il dirige, il impose des vues sans aucune légitimité issue du suffrage universel ; donc un dénie de démocratie complet" "Les représentants des Bilderberg obéissent aux trois pivots de l'idéologie maçonnique : nominalisme (on dit qu'il n'y a pas de vérité, chacun a sa vérité, qui est évolutive), naturalisme (il n'y a pas de religion révélée), primauté de l'homme (l'homme est le centre de toute chose)". David Rockefeller, est le fondateur du Groupe Bilderberg. Cette vidéo nous apporte des explications simples sur le concept du groupe Bilderberg. Au cours de ses réunions, des décisions stratégiques essentielles y sont prises, hors des institutions démocratiques au sein desquelles ces débats devraient normalement avoir lieu, et à l'abri des regards, violant ainsi l'éthique journalistique. Ces orientations conditionnent ensuite les décisions des institutions subalternes comme le G8, les gouvernements des Etats, mais aussi les directions des marchés, l'évolution des conflits... Les membres de ces réunions sont composés de dirigeants politiques, patrons de banques, milliardaires et responsables occidentaux, pour déterminer l'avenir du monde et resserrer leur contrôle sur les rouages des organismes supranationaux. Qui choisit les membres? La structure organisationnelle du groupe Bilderberg est relativement simple. Il existe un comité directeur, formé d'une trentaine d'individus, et ce comité élit un président pour un mandat d'un an. Le mécanisme qui détermine la composition du comité directeur n'est pas précisé dans les documents officiels du groupe. Avec l'aide du comité directeur, le président élabore le programme de la conférence annuelle et sélectionne les participants. Un Secrétaire exécutif travaille sous l'autorité du président. Le président actuel est Henri de Castries, PDG du groupe mondial d'assurances AXA. Chaque rencontre annuelle réunit une centaine d'invités. Cela dit, les seuls véritables membres de Bilderberg sont ceux qui siègent sur le comité directeur. Les invités aux conférences ne sont pas considérés comme des membres. L'histoire : En mai 1954, une soixantaine d'hommes influents provenant du domaine de la politique, de la finance et de l'élite aristocratique européenne se réunit à l'Hôtel de Bilderberg à Oosterbeek en Hollande. Le Polonais Joseph Retinger, l'un des plus grands défenseurs de l'unification européenne, est souvent identifié comme étant l'un des principaux initiateurs de cette rencontre, qui survient dans le contexte de l'après-guerre où un fort sentiment anti-américain balaie l'Europe et où la menace communiste inquiète l'Occident. Retinger et ses comparses souhaitent faire la promotion de l'alliance de l'OTAN, et désirent une meilleure coopération entre les pays d'Europe et les États-Unis. Ils espèrent qu'un meilleur dialogue à travers l'Europe et avec les USA pourra prévenir de futures guerres. Lors de cette première réunion, des invités de marque comme l'ancien Premier Ministre de Belgique Paul Van Zeeland, le Prince Bernhard des Pays-Bas ainsi que le président d'Unilever, Paul Rijkens, sont présents. Pas de traces écrites Pendant trois jours, les invités discutent de l'intégration européenne et de l'attitude à adopter face au communisme et à l'Union soviétique. Aucune résolution officielle n'est adoptée et aucun compte-rendu n'est publié, mais les organisateurs estiment que la rencontre est un tel succès qu'ils décident de tenir une conférence similaire chaque année. Dès lors, le groupe se nomme Bilderberg en l'honneur de son premier lieu de rencontre. Source "Le Nouvel Ordre Mondial" http://www.nouvelordremondial.cc/cat/...

vendredi

La Russie aurait suggéré d’envoyer des contingents kazakhs et kirghiz en Syrie.


Un contingent eurasien en Syrie? 24 juin 2017 Réseau International Partager la publication "Un contingent eurasien en Syrie?" Dans le monde multipolaire qui se dessine pour le XXIe siècle, l’Eurasie fera entendre sa voix. Le projet de faire intervenir des contingents kazakhs et kirghiz dans le cadre d’une mission de maintien de la paix en Syrie va dans ce sens. S’il se concrétise, ce projet prouvera que le monde se passe très bien de l’occident pour régler ses conflits. La Russie aurait suggéré d’envoyer des contingents kazakhs et kirghiz en Syrie. Une proposition qui s’inscrit dans le cadre de la préparation du nouveau round des pourparlers d’Astana sur la Syrie, qui devrait avoir lieu début juillet. C’est Ibrahim Kalin, porte-parole du président turc, qui a révélé cette proposition, émise lors des échanges préparatoires russo-turcs. Les troupes kazakh et kirghiz viendraient en appui de celles que la Russie, l’Iran et la Turquie ont prévu lors du précédent round d’Astana d’envoyer dans les zones de désescalade, sous réserve d’un accord de Damas. Pour le moment, il ne s’agit que d’une proposition qui doit être encore discutée avec toutes les parties intéressées. Si la proposition devait aboutir, ce serait effectivement une mini-révolution. Les autorités du Kirghizistan, dont le président vient de terminer une visite en Russie, ont confirmé que cette idée d’envoyer des militaires en Syrie avait été discutée lors du Conseil permanent de l’OTSC (Organisation du traité de sécurité collective, composée de la Russie, du Kazakhstan, de la Biélorussie, du Kirghizistan, de l’Arménie et du Tadjikistan). Ce pays ex-soviétique d’Asie centrale voit en effet d’un œil favorable cette possible mission du maintien de la paix. Mettons maintenant cette proposition en perspective et dans son contexte. Relevons tout d’abord que le Kazakhstan et le Kirghizistan font, de notoriété publique, partie des principaux alliés de la Russie. Les deux nations sont également membres de toutes les organisations dans lesquelles la Russie joue un rôle de premier plan: l’Union économique eurasiatique, l’OTSC, l’Organisation de coopération de Shanghai (OCS), la CEI. D’autre part, ces deux pays turcophones d’ex-URSS ont de bonnes relations avec la Turquie, un des trois pays garants du processus d’Astana, avec la Russie et l’Iran. Avec ce dernier, les relations sont également cordiales. Enfin, et c’est tout aussi important, les deux États soutiennent l’approche multipolaire des relations internationales et le respect de la souveraineté des nations, ce qui signifie que le gouvernement syrien ne sera certainement pas opposé à voir des troupes kazakhs et kirghiz sur son territoire. Enfin, les Kazakhs comme les Kirghizes sont majoritairement musulmans sunnites, à l’instar de la majorité de la population syrienne. Ce qui est indéniablement un facteur positif, comme le démontre l’accueil très favorable que la population locale a réservé à la police militaire russe en Syrie, composée majoritairement de Russes-Tchétchènes sunnites, et qui assure notamment la sécurité dans la ville d’Alep. L’idée est donc excellente. Surtout qu’elle renforcera dans les faits la notion d’Eurasisme. L’Eurasie est amplement capable de résoudre les principaux conflits régionaux et internationaux sans la participation de ceux qui «pensent» toujours qu’ils sont irremplaçables… suivez mon regard. Nous restons évidemment prudents en attendant que cette initiative se concrétise, mais si tel était le cas, elle serait sans aucun doute à saluer. Au moment où l’armée gouvernementale syrienne et ses alliés sont en train de venir à bout des terroristes sur le sol syrien, provoquant une hystérie totale des Américains et de leurs alliés, qui comprennent que le chaos en Syrie touche à sa fin et que leurs objectifs géopolitiques ne seront pas atteints, nous devons dès à présent anticiper le retour effectif à la paix et la reconstruction du pays. En ce sens, la solidarité de la famille eurasienne est plus qu’une nécessité. Que les atlantistes notent bien que nous sommes en 2017, pas en 1992, et qu’il est possible de régler les principales questions internationales sans la participation des élites atlantistes. Mikhail Gamandiy-Egorov source: https://fr.sputniknews.com/points_de_vue/201706231031959072-conflits-kazakhs-kirghizs-syrie/

La Russie envisage de quitter les organisations européennes


24 juin 2017 Réseau International La Russie envisage de quitter les organisations européennes Partager la publication "La Russie envisage de quitter les organisations européennes" Suite aux ingérences répétées des cours européennes dans la politique intérieure russe (Par exemple, la condamnation pour « homophobie » par la cour européenne des droits de l’homme (CEDH) cette semaine), de plus en plus de voix s’élèvent pour que la Russie quitte les instances européennes. C’est ainsi que Mikhail Yemelyanov, premier vice-président du Comité de la Douma sur la législation (qui s’occupe de rédiger les lois) a proposé de créer une alternative à la CEDH et suggère même de quitter toutes les structures du Conseil de l’ Europe: « Je préconise depuis longtemps un moyen de sortir du Conseil de l’Europe et de l’ensemble de sa structure, y compris la CEDH. Nous ne pouvons pas renoncer à une partie de notre souveraineté au profit d’entités supranationales qui sont contrôlées par des forces hostiles à la Russie et qui utilisent ces institutions pour faire pression sur la Russie et limiter sa souveraineté. Que nous soyons encore dans la CEDH est absurde ». Le député a souligné que les récentes décisions de la Cour de Strasbourg sont politisées et anti-russe. «Quitter ces structures est donc nécessaire». Deux options sont envisagées: La mise en place d’une solution de rechange à la CEDH sur la base des BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) qui serait selon Yemelyanov une garantie d’avoir des décisions plus objectives, ou bien tout simplement quitter la CEDH sans la remplacer par quoi que ce soit: « Même dans ce cas, rien de mauvais n’arrivera, nous adapterons simplement nos lois pour ne pas qu’un oncle s’impose chez nous en prétendant régler des problèmes! » Il est clair que les décisions de la CEDH qui, systématiquement soutient ceux qui rêvent – et tentent – de renverser le gouvernement russe (Pêle-mêle Berezovsky, Khodorkovsky, Navalny, les « Pussy-Riots », les « victimes » homosexuelles, etc etc) sont dictées par des décisions d’une part politiques, d’autre part « morales » conformément aux idéaux de « moralité » définis par l’Europe. Idéaux qui ne sont assurément pas ceux de la Russie! source: https://rusreinfo.ru/fr/2017/06/la-russie-envisage-de-quitter-les-organisations-europeennes/