lundi

"Des banques sauvées. Le patient (bientôt) mort !"


24 juillet 2017 - Réseau International ! Partager la publication "Des banques sauvées. Le patient (bientôt) mort !" Depuis la crise de la dette nationale grecque, qui est devenue publique en 2010 et qui jusqu’à présent n’est pas résolue, l’économie de la Grèce a baissé d’un quart. Cela malgré le troisième programme d’ajustement économique du « Mécanisme européen de stabilité » d’un montant de 248 milliards d’euros. Selon l’expert financier Marc Friedrich 90% de ces disponibilités ne sont jamais arrivées, sinon le chômage des jeunes ne dépasserait pas comme actuellement les 50%. L’argent a reflué vers des instituts financiers à Francfort, à Paris et à Londres et a sauvé ces banques et l’euro de la faillite. Dans une interview Marc Friedrich a dit : « … et c’est un scandale en soi que nous essayions en fait toujours de sauver le patient, en ce cas la Grèce, par les mêmes médicaments qui ont échoué, c’est-à-dire par le médicament « Sauver les banques ». Mais dans ce cas la Banque centrale européenne (BCE), la Troïka (c’est-à-dire la coopération de la Banque centrale européenne, du Fonds Monétaire international et de la Commission européenne) et les responsables à Bruxelles et à Berlin continuent à essayer de retaper le patient avec le même remède qui a échoué, et ce jusqu’à ce que le patient tombe vraiment raide mort. » Dans cette situation les responsables devraient être à l’écoute du journaliste suisse Ernst Reinhardt, je cite : « Celui qui est grand, c’est celui qui commande mais qui se laisse quand même dire quelque chose. » source: https://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr Partager la publication "Des banques sauvées. Le patient (bientôt) mort !"